Deux ans après le lancement réussi de l'Ovni 52 Evolution, le chantier sablais Alubat récidive en annonçant son petit frère, également dériveur intégral, à savoir l'Ovni 46 Evolution, un modèle stratégique pour le chantier.

Spécialiste des voiliers de grand voyage en aluminium, le chantier Alubat s'est taillé une réputation en... acier forgé, avec ses Ovni (dériveurs intégraux) et Cigale (quillards), des modèles intégralement réalisés en aluminium, qu'il s'agisse de la coque, du pont ou du roof, dont les qualités marines, la robustesse et la sécurité ne sont plus à vanter.

Après le 52, bien accueilli sur le marché mis ciblant une clientèle assez élitiste, le chantier annonce un 46 pieds, qui correspond pleinement au coeur du marché, un marché de niche qui adresse des voileux souhaitant acquérir un bateau robuste, confortable et sûr, destiné à naviguer longtemps et loin.

Des tour-du-mondistes, admirateurs des exploits de Jimmy Cornell, adeptes des circumnavigations, ou amateurs de destinations exotiques, qui passeront in fine des mois à bord de leur voilier, devenu au fil des jours leur habitation flottante, leur bulle de bien être et de sécurité au milieu des flots.

Pour ce nouveau modèle, le chantier a décidé de travailler avec Nicolas Père et le cabinet HT2.

Le résultat de cette coopération est un voilier racé, qui se reconnaît à sa carène large, puissante, dotée de bouchains évolutifs, à ses deux safrans et à sa dérive profilée permettant des performances élevées à toutes les allures.

Fidèle à l’esprit de la gamme, l'Ovni 46 Evolution propose un seuil inférieur à 70cms (3 marches), entre le carré et le cockpit, permettant de réconcilier ces deux volumes de vie sans souci, un cockpit large offrant un grand confort de manoeuvre et de vie à l'extérieur et deux brres à roue.

Point important, le pont dégagé met en évidence une large plage avant, avec une vue dégagée depuis l'intérieur du bateau, condition indspensable quand on navigue au pilote.

Un modèle qui sera fidèle à la tradition de qualité du chantier avec deux détails mis en avant par Philippe Aupinel, dirigeant d'Alubat : le puits de chaîne centré, pour équilibrer le bateau, et la tôle d'étrave arrondie, débordant de chaque côté de la coque, évitant que le bateau ne "s'ouvre par l'avant", en cas de choc frontal.

Chez Alubat, tout est décidément dans les détails....