16 Mai 2022
Le Japon, est un pays de pêcheurs. Les maisons-mères de Furuno, Daiwa, Tenryu, Fujino, Sakura et bien d'autres sont ancrées dans l'archipel.
Alors la pêche, au Japon, on prend cela au sérieux.
Un bateau de pêche sportive doit profiter de bonnes qualités marines, pour permettre de sortir et rentrer par des temps frais, mais doit aussi en offrir d'autres, sur les plans de la surface et de la stabilité.
Les catamarans sont particulièrement réputés pour leur stabilité, aussi bien en route qu'au mouillage.
Ils offrent une très belle surface, des volumes, de multiples accès à la mer, alors, pourquoi n'en voit-on pas davantage dédiés à la pêche ?
Clairement dédié à la pêche avec son absence de couchages dans une unité de cette taille, le NSC26 dispose cependant d'un carré transformable.
Le cockpit arrière est dégagé, offrant tout son volume. Le cockpit avant, auquel on accède par une porte de puis la timonerie est presque aussi large et spacieux que le principal. Son avant ponté, un peu à la manière de celui des catamarans Bali, y est pour quelque chose.
Motorisé avec un moteur Honda de 225 HP, la performance pure n'est pas au programme, mais, avec ses 1700 kg le bateau ne doit pas souffrir d'anémie.
Doté d'un évier pour préparer le poisson et d'un vivier en option, voilà un bateau destiné, sans compromis d'aucune sorte, aux plaisirs de la pêche !
Un bateau vendu, au Japon, 66.000 € HT, sans moteur.