7 Mai 2018
Vendredi 4 mai dernier était un jour à marquer d'une pierre blanche pour la société La Baule Nautic, concessionnaire Bénéteau basé à Pornichet, qui distribue également des marques comme Zodiac et Fountaine-Pajot, puisque la société dirigée par Jérôme Caillaud -P-DG) et Etienne Germain (DG) fêtait ses 40 ans.
Dans une interview vidéo exclusive ActuNautique.com, Jérôme Caillaud revient sur les 40 ans de La Baule Nautic, l'un des tous premiers distributeurs français du chantier vendéen, qui réalise une chiffre d'affaires de 10-11 millions d'euros par an, pour 150 bateaux.
Créée en 1978, lors de la création du port de Pornichet, La Baule Nautic a depuis lors surfé sur le développement du marché nautique français, en bénéficiant de la puissance du chantier Bénéteau et en basant sa stratégie sur le service client.
Ce service client s'organise tout d'abord autour de la vente de bateaux neufs et d'occasion, au travers de 2 implantations localisées sur le port de Pornichet et sur la Route de St Nazaire, où la société dispose d'un hall d'exposition assez unique, permettant de présenter toute la gamme Bénéteau hors-bord dans le plus grand confort, en toute saison.
Ces deux implantations sont également dédiées à l'entretien et au refit de bateaux, ainsi qu'à leur hivernage - près de 100 bateaux hivernés sous hangar chaque année - une demande de plus en plus forte actuellement.
En parallèle, La Baule Nautic dispose de trois magasins d'accastillage à l'enseigne Uship, basés au Pornichet et au Pouliguen. et a développé une activité de location bateaux à la journée, littéralement plébiscitée par les clients.
Anticipant les développement de nouvelles pratiques nautiques, La Baule Nautic a fait partie des membres fondateurs du Bénéteau Boat Club, un Club qui propose une pratique facilitée du nautisme, sans les inconvénients liés à la propriété.
Jérôme Caillaud explique les changements de paradigme apparus sur le marché depuis 10 ans, car si 80% de l'activité bateaux neufs de La Baule Nautic concernait les voiliers monocoques, ces mêmes 80% concernent aujourd'hui les bateaux à moteur hors-bord.
Une évolution qui concerne un secteur peut être trop technique, "trop tourné autour des produits", conclut Jérôme Caillaud, "et pas assez des moments que l'on vit à bord de son bateau..."