23 Janvier 2016
Pour ce faire, nos confrères se sont adjoint les services de l'armée britannique, qui s'est chargée d'installer de quoi faire exploser une bouteille de propane, et ceux du RNLI, l'équivalent des sauveteurs en mer SNSM, pour veiller à la sécurité nautique de l'opération.
Après un premier pétardement raté, le second va fonctionner, pulvérisant le pont du voilier et le démâtant.
Le fond de coque jouant le rôle de caisse de résonnance, c'est vers le haut que tout l'impact de l'explosion s'est dirigé, et le voilier - en composite - flotte toujours malgré la violence de la déflagration.
Peu de chances que l'on en réchappe en cas d'un tel accident...