Artemis Technologie regroupe les activités d'ingénierie de l'écurie de course Artemis Sailing.

Dernier développement en date, un ensemble foils en T moteur électrique pod intégré qui ressemble furieusement à celui du Suédois Candela.

Cet ensemble propulsif est destiné à être mis en œuvre sur des bateaux Artemis, mais aussi d'être commercialisés auprès de chantiers qui pourraient bien en avoir besoin, sans devoir déployer les ressources d'ingénierie nécessaires à la conception de ce genre d'ensemble.

Artemis Technologies

Artemis Technologies est la branche dédiée aux études et au développement techniques de la célèbre écurie de régate Artemis Racing.

Artemis Racing aligne une équipe sur le cicruit TP52 mais s'est essayé au RC44 et surtout aux AC75, les bateaux destinés à LA course d'entre les courses, la Coupe de l'America lors des 35e et 36e éditions.

Sur les AC75, le niveau technologique est tel que les équipes ressemblent davantage à celles de startups de la tech qu'à des équipes de course traditionnelles.

Les foils se trouvent naturellement au centre de toutes les attentions.

Artemis Technologies, la branche études et développement d'Artemis Racing, monétise son savoir-faire à travers la commercialisation d'un système complet de foils et de moteur électrique pod.

Cette propulsion est destinée à être déployée sur des navires Artemis, comme un navire de support ou un ferry.

Artemis eFoiler

Le système eFoiler consiste en un ensemble de deux paires de foils en T dont hauteur et angle d'attaque sont pilotés automatiquement, couplés avec, l'intégration d'un moteur électrique (250-270 kW en 700V) pod torpille (ça ne vous rappelle personne en Suède ?). 

Un ensemble de capteurs, dont une caméra capable de détecter des obstacles, fournissent, en temps réel leurs données au système de pilotage de l'ensemble.

Artemis Technologie rassemble, en interne, le développement des foils et de leurs contrôles avec celui du moteur pod pour fournir un ensemble très convaincant, clés en mains.

La consommation énergétique d'un navire ainsi équipé, tout carbone en comparaison de celle d'un autre, en aluminium à déplacement, serait inférieure de 90%.

Pour un bateau, comme un petit ferry de transport urbain public comme ceux d'Amsterdam, opéré 200 NM par jour, 350 jours par an, ce sont 8000 Tonnes de CO2 et 2,6 m € de carburant d'économisé.