L'objectif de cette démarche étonnante est de créer un habitat destiné à faire revenir la faune et la flore marine.

Voir immergée une rame de métro déclassée est à priori choquant, pour qui songe à certaines décharges que l'on peut observer non loin du rivage, voire à l'immersion de fûts radioactifs au large du Cotentin, par les britanniques, pendant des décennies...

La démarche entreprise par la ville de New-York est toute autre, puisque débarrassées de leurs éléments les plus polluants (ou recyclables), ces 2500 rames de métro promises à la destruction, doivent permettre de développer la faune et la flore marines, en créant des récifs artificiels, sur un fond désespérément sablonneux, avec à la clé, l'arrivée d'espèces telles le Bar Noir.

Des récifs qui de surcroît repousseront les adeptes du chalutage...

Une idée à développer en France ?