Les systèmes de protection des bateaux de plaisance contre la foudre consistent à l'attirer sur un récepteur puis à convoyer son énergie à la mer, qui joue, en l'ocurrence, le rôle de terre.

Cette manière de procéder ne procure pas que des avantages en ce sens que les récepteurs sont conçus alorsd popur attirer le coud de foudre.

Le compensateur de chaamp magnétique Sertec CMCE agit de manière préventive en désamorçant l'ionisation de la zone qu'il protège.

À bord des navires, les systèmes anti-foudre sont d'ordre passif. Il s'agit de convoyer le courant à la terre-mer et d'éviter la formation d'arcs secondaires. 

Les arcs secondaires se forment dans les bateaux ou à leur surface quand un équipement métallique entre en contact par l'eau de mer avec la foudre tombée à proximité.

Foudroiement direct et arcs secondaires entraînent des dégâts importants sur les bateaux, des dégâts qui vont de la perte totale à l'endommagement définitif des systèmes d'énergie, électricité et électronique du bateau.

Lors d'un éclair, les basses couches de l'atmosphère se retrouvent ionisées ce qui déclenche une série d'éclairs ascendants précurseurs avant que, le circuit totalement établi, ne frappe le coup de foudre, suivant une sorte de circuit ionique.

Le dispositif proposé par Sertec est un appareil actif, une sorte de contre-mesure. Il s'agit d'un émetteur qui agit de manière très différente des dispositifs conventionnels en dé-ionisant l'atmosphère dans un rayon compris entre 30 et 120 mètres du bateau, suivant la puissance de l'appareil.

La société le nomme compensateur de champ magnétique.

Dans la pratique, l'appareil dispose de paires d'électrodes, dont l'une est mise à la terre (polarité +). La seconde se charge négativement au contact de l'atmosphère ionisée. La différence de potentiel, ainsi, crée attire les charges électriques des particules ionisées vers l'électrode mise à la terre et contribue ainsi à neutraliser la charge négative d'ionisation qui peut faire naître les éclaires précurseurs ascendants.

Le Sertec est destiné à désamorcer le risque l'éclair dans sa zone de protection.

Mais qu'en est-il en cas d'impact, d'éclair direct ?

L'appareil est capable de supporter des tensions de l'ordre de 640.000 V et supporte 7 passages d'un courant de 100.000 A, confirmées par des tests en laboratoire. Au-delà de ces valeurs, il est conçu pour se comporter comme un très gros fusible thermique, qui, en fondant, va absorber de 60 à 90% de l'énergie de l'éclair.